Avocat - Responsabilité bancaire
Prendre rendez-vousOn se figure parfois la relation bancaire comme une mécanique bien huilée. Pourtant, rien n’est jamais tout à fait linéaire. Entre les obligations du banquier, les règles du droit bancaire et les imprévus de la vie économique, les litiges surgissent là où on ne les attend pas. C’est là que le choix d’un avocat en droit bancaire fait toute la différence.
Situé à Marseille, en Provence, mais tout aussi actif à Paris ou sur les marchés internationaux, Solent Avocats accompagne depuis des années clients particuliers, sociétés, professionnels, entreprises et associés dans ce secteur en constante évolution. Notre cabinet d’avocats intervient chaque jour dans des affaires qui mettent en jeu la responsabilité du banquier : crédits immobiliers mal montés, garanties inadaptées, baux commerciaux complexes, cessions d’entreprise, abus de frais, soutien abusif, gestion douteuse des moyens de paiement, et une foule d’autres opérations, parfois banales, parfois bien plus risquées.
Ici, ce n’est pas la perfection qui compte, mais la pratique. Il y a des dossiers où une absence d’information ou un simple manquement de la banque bouleverse tout l’équilibre financier d’un client. D’autres où une opération commerciale mal ficelée entraîne une charge excessive, un préjudice, et parfois des conséquences très lourdes pour la société ou son associé. Nous le savons : chaque situation est différente. Rien n’est jamais écrit d’avance.
Notre rôle ? Défendre avec ténacité, mais sans illusion, les intérêts de nos clients. Obtenir réparation quand la réglementation bancaire ou le contrat n’ont pas été respectés. Monter une stratégie de négociation solide, ou, si besoin, engager une procédure judiciaire devant le tribunal judiciaire ou le tribunal de commerce, à Paris, en Provence, ou ailleurs.
Notre équipe privilégie l’échange direct, la mise en œuvre de solutions pragmatiques, et un accompagnement sans jargon inutile.
Droit bancaire, droit commercial, droit civil, droit de la consommation, droit des affaires : ici, on parle tous ces langages. Mais surtout, on connaît les usages. Et la jurisprudence, celle de la cour de cassation ou des juridictions de première instance.
Un doute ? Parfois, un simple échange permet d’y voir plus clair.
Pour un premier conseil, une évaluation de votre dossier, ou simplement pour comprendre vos droits et vos obligations en matière bancaire, n’hésitez pas à contacter Solent Avocats.
Solent Avocats c’est…
Nous défendons vos intérêts en France métropolitaine et d’outre-mer
Les situations qui engagent la responsabilité de la banque : rien n’est tout blanc ou tout noir
Le secteur bancaire englobe un nombre impressionnant de contrats, de produits et de services : crédit à la consommation, crédit immobilier, ouverture de compte bancaire, mise en place d’une hypothèque ou d’une caution, baux commerciaux, transactions internationales, gestion de moyens de paiement… La liste est longue. La société cliente, le particulier, le professionnel ou l’entreprise font parfois face à des situations qu’ils n’avaient pas anticipées.
On croise de tout : absence de communication, octroi de crédit excessif, manquement à l’obligation de conseil, soutien abusif à une entreprise déjà en difficulté, erreur sur le TEG, litige sur le paiement, frais bancaires abusifs, mise en garde inexistante, défaut de vigilance…
Dans bien des cas, la banque n’a pas respecté les obligations imposées par la réglementation applicable – code civil, code de commerce, code pénal, droit bancaire, droit de la consommation, droit bancaire et financier…
À chaque fois, c’est le fonctionnement quotidien du compte, la gestion de l’affaire, ou parfois même la survie de l’entreprise ou du patrimoine familial qui se jouent.
Le contentieux bancaire est vaste. Saisie immobilière, liquidation judiciaire, procédure de recouvrement de créances, cession d’actifs, rôle du banquier dans la transaction, gestion du risque : chaque dossier a ses aspérités. Ce qui est certain, c’est que le recours contre la banque ne se joue pas sur la théorie, mais sur les preuves, l’analyse du contrat, la chronologie, et la capacité à engager la responsabilité de l’établissement bancaire au bon moment.
Crédit inadapté, excès ou défaut de mise en garde : l’effet domino
Il y a des clients qui pensaient avoir tout prévu. Pourtant, un contrat de prêt accordé sans la moindre vérification sérieuse du risque : voilà comment un dossier bascule.
Banque ou établissement de crédit : tous sont soumis à une obligation de mise en garde, de conseil et de vigilance. Le taux effectif global (TEG) doit être clairement indiqué. Une garantie mal expliquée (caution, hypothèque, assurance) ou une absence d’information sur les conséquences d’un engagement, et c’est la responsabilité de la banque qui peut être engagée.
La pratique montre que les manquements aux obligations sont nombreux : absence de diligence, frais dissimulés, défaut de conseil, soutien excessif, défaut de mise en place des garanties. Parfois, la communication fait défaut au moment clé, ou le client découvre, tardivement, que son contrat recelait une clause abusive.
Dans ce type de litige, il faut savoir réunir les preuves : échanges de courriers, contrats, relevés de compte, simulations de prêt, justificatifs de revenus, preuve de l’absence de mise en garde ou de conseil juridique.
L’enjeu ? Défendre les consommateurs, mais aussi les sociétés ou les associés, face à des professionnels qui, parfois, privilégient le fonctionnement courant à la vigilance.
Chaque recours s’envisage au cas par cas. Rien n’est mécanique. Un audit du dossier s’impose toujours.
Rupture de concours, soutien abusif, et autres fractures du quotidien bancaire
On ne le dira jamais assez : la rupture d’un concours bancaire, ce n’est pas juste une “décision de gestion”. Pour une entreprise ou une société, c’est parfois la fin de l’activité, l’ouverture d’une procédure collective, ou un risque immédiat de liquidation judiciaire.
Soutien abusif : ce mot, on l’entend souvent sans toujours comprendre sa portée. Un banquier qui maintient artificiellement une société à flot : cela peut sembler une faveur. En réalité, cela cache parfois une volonté de préserver ses propres intérêts, quitte à créer un préjudice pour les autres associés ou créanciers.
L’absence de préavis, une communication tardive, la suppression soudaine d’un crédit ou d’une autorisation de découvert : autant de causes qui exposent la banque à une action en responsabilité civile, devant les tribunaux de commerce ou judiciaires.
Un conseil : dès la première notification, ne rien laisser traîner. Réunir les documents, comprendre les raisons, envisager une négociation, préparer la défense. Le cabinet intervient à ce moment précis, au plus près de la situation, pour accompagner, aider, et si besoin, engager la procédure adaptée.
À noter : les litiges liés à la cession d’entreprise, à la gestion de baux commerciaux, ou à des transactions internationales relèvent aussi du contentieux bancaire. Dans ces affaires, l’expertise en droit international, en droit public, voire en droit de la famille, devient un atout. La réglementation diffère selon le domaine, la nature du contrat, et le type d’opération concernée.
Pourquoi choisir Solent Avocats ? (et pourquoi le choix compte)
Tous les cabinets ne se ressemblent pas. L’expertise en droit bancaire, ce n’est pas un badge, c’est une expérience. Ici, chaque dossier est traité avec sérieux mais sans certitude absolue – parce que dans ce secteur, l’incertitude est la règle, pas l’exception.
Solent Avocats, cabinet d’avocats solidement ancré en Provence, à Paris et au-delà, intervient dans tous types de contentieux : crédit immobilier, contrat commercial, fonctionnement du compte bancaire, moyens de paiement, opérations de marché, baux commerciaux, transactions complexes, litiges en droit bancaire, gestion de créance, recouvrement, défense contre la fraude bancaire, mise en œuvre de garanties, ou action en responsabilité du banquier.
Notre approche ? Le concret, la pédagogie, la rigueur. Représenter nos clients devant toutes les juridictions compétentes, préparer une négociation ou un recours contre l’établissement bancaire, analyser la réglementation applicable, repérer les failles dans le contrat, obtenir une solution – ou, si ce n’est pas possible, bâtir une défense efficace.
La représentation en justice, la gestion du contentieux, la pratique du droit commercial et du droit bancaire : tout cela n’a de sens que s’il s’agit d’obtenir un résultat utile pour le client.
Un rendez-vous, une question, un doute ? Parfois, tout commence par une simple conversation. Rien n’est trop petit, ni trop compliqué pour mériter d’être examiné.
Pour une première analyse – sans engagement, sans fioritures – contactez Solent Avocats. Parfois, une simple démarche peut faire toute la différence.
Foire aux questions
Quels sont les litiges qui relèvent de la responsabilité bancaire ?
Tout dépend du contexte, mais on retrouve souvent : octroi abusif ou excessif de crédit, absence ou défaut de conseil, manquement aux obligations contractuelles, litige sur les moyens de paiement, soutien abusif, contentieux commercial, cession ou baux, gestion du compte, opérations à l’international, et bien sûr, les frais bancaires abusifs qui font tant parler dans le secteur. La variété des situations, la diversité des contrats, et la constante évolution de la réglementation créent un terrain fertile pour les litiges en droit bancaire.
Quelles preuves réunir pour engager la responsabilité de la banque ?
Chaque dossier a ses spécificités, mais certains réflexes restent utiles : conserver le contrat, tous les échanges de communication, preuve du paiement, copie des relevés de compte, traces de la négociation, des frais, ou de l’absence de mise en garde. Un détail qui semble anodin peut parfois tout changer. La charge de la preuve n’est pas toujours là où on l’attend. S’entourer d’un cabinet compétent en droit bancaire et financier : c’est déjà un pas.
Que faire en cas de rupture de concours ou de soutien abusif ?
Première étape : comprendre les raisons et le cadre juridique applicable. Ensuite, prendre rapidement conseil auprès d’un avocat au barreau, expert en droit bancaire, qui saura orienter la démarche : négociation, action, procédure judiciaire, recours contre la banque… L’urgence n’est pas la même pour une entreprise en procédure de liquidation judiciaire que pour un particulier en situation d’exécution de garantie ou de contestation de TEG. L’essentiel : agir sans tarder.
Comment choisir un avocat compétent en matière bancaire ?
Vérifiez l’expérience en droit bancaire, en droit commercial, la connaissance des obligations du secteur, la capacité à intervenir devant tous les tribunaux (barreau de Paris, barreaux de province, marchés internationaux). Le choix du cabinet doit reposer sur la pratique, la rigueur, la capacité à accompagner le client dans des affaires diverses : mise en œuvre de garantie, défense contre fraude, opération immobilière, gestion de contentieux bancaire ou commercial, protection des consommateurs, litige sur une carte bancaire… Rien ne remplace un entretien direct pour juger de la pertinence.
Les honoraires : comment ça fonctionne ?
Ici, pas de mauvaise surprise. La convention d’honoraires s’adapte à la situation, au type de service, à la complexité de l’affaire : forfait, taux horaire, parfois une part de résultat (dans les limites déontologiques du barreau). Chaque client est informé du cadre, des frais à prévoir, des démarches possibles. Pour certains, la protection juridique permet de couvrir une partie des honoraires. Parfois, un simple premier échange suffit à lever le doute.